Radio Rôliste #16 : Un collector en bois de contrebande

By | 10 juillet 2012

Au programme de ce numéro 16 :

  • News
  • Critique : Étranges Époques 1&2 (Appel de Cthulhu) (45mn)
  • Critique : On Mighty Thews (1h03mn50)
  • Dossier : Retour d’expérience sur Warhammer 3 (1h27mn50)

Les liens de ce numéro : Le kickstarter de la version anglaise des Ombres d’Esteren, celui de Tabletop Forge, les logiciels naturalreaders et soundplant.

Le supplément gratuit Abattoir pour Patient 13, disponible sur le site de Yno.

Les infos sur la Bibliothèque interdite ont été trouvées ici.

Le premier scénario de la campagne « Achtung Cthulhu! » est disponible ici. La version Beta de « Only War » est ici. La page du site de John Wick parlant de Cold&Dark. Le blog d’Angus Mc Nicholl parlant de Fading Suns. Et enfin, celui que vous attendez tous : le kickstarter de World of Synnibar.

 

9 thoughts on “Radio Rôliste #16 : Un collector en bois de contrebande

  1. Dr Dandy

    Bravo pour le recrutement de Mickael! Ces interventions sont très sympa: pas de langue de bois, second degré, etc. Cool.
    Pour On Mighty Thews tu vas être servi puisque BaH va sortir une aide de jeu à base de cartes qui seront illustrées par la crème des dessinateurs français de jdr.

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  2. Julien

    A propos des traductions anglaises, pour avoir discuté avec quelques rolistes américains via forum, le seul dont ils avaient entendu parlé INS, abrégé en In Nomine. Sans l’avoir testé cependant. Ils le connaissaient suite à sa publication par Steve Jackson et à sa version GURPS si je ne m’abuse.

    Pour avoir testé Houses of the blooded plusieurs fois en tant que MJ, ça ne fonctionne qu’avec des joueurs qui acceptent de se lancer. Mais quand ça fonctionne c’est exceptionnel ! Je ne peux que conseiller de s’y lancer. Du point de vue du MJ, le jeu lui même ne demande pas tellement de préparation, en revanche il faut prévoir de quoi prendre des notes, beaucoup de notes. L’univers de jeu étant éclairci au fur et à mesure des parties, c’est obligatoire si on veut garder une cohérence. Finalement ça ressemble pas mal à ce que vous décrivez sur la mise en place d' »On mighty thews ». Merci pour cette découverte.

    Dans la série John Wick, je conseille aussi « the aegis project », un jeu de mécha plutôt intéressant, jamais testé en partie cependant. Il se propose 3 époques en un seul jeu, avec une histoire qui m’a paru cohérente.

    Sinon que du bon ! un grand plaisir à vous écouter.

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  3. Humphrey B.

    Kobal, c’est ton compte en banque qui te parle : arrête d’acheter des collectors !

    Bon, blague à part, encore une bonne émission. J’ai particulièrement apprécié le retour d’expérience sur Warhammer 3 : ce genre de critique avec prise de recul est particulièrement précieuse.

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  4. James Foley

    Très bonne émission, bienvenue Michael et a ses analyses d’après-jeu ^^

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  5. Deadplayer

    Cela faisait un moment que ce podcast trainait dans un coin de mon ordinateur sans que je prenne le temps de l’écouter, c’est chose faite et tant mieux, c’est agréable d’entendre parler jeu de rôle et avec talent en plus. Je vais aller fouiller dans les archives, en attendant les prochains épisodes.

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  6. Glass

    La campagne Kickstarter pour la sortie en anglais des Ombres d’Esteren a réussi à rassembler $55 608 en 1 mois (1853% du but prévu), soit un peu plus de 700 souscripteurs dont environ 190 en Europe.

    Alors madame Irma, succès ou pas ?

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    1. Kobal Post author

      Ouaho ! Oui en effet, c’est plutôt un joli succès. Après j’espère qu’ils réussiront à développer la gamme.

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    2. Michaël C.

      Joli succès mais qui n’a rien à voir avec mon propos.
      Lorsque je parle de succès, ou plus précisément d’échec, c’est surtout concernant ces traductions lancées sous le format classique d’éditeur : je traduis, je publie, et je pleure toutes les larmes de mon corps quand les ventes ne suivent pas.
      Le crowdfunding (et son prédécesseur, la souscription) est en effet la solution idéale pour éviter ce genre d’écueil, et grand bien vous en a fait d’y recourir.
      Ce que je déplore c’est que d’autres excellents jeux français n’aient pu recourir à cet outil par le passé. Car ce n’est pas aussi facile qu’on le pense d’intéresser les joueurs américains avec nos jeux « intello » français.
      Tout ça pour dire que Madame Irma ne demande qu’à se tromper de plus en plus, histoire que ces échecs cuisants du passé ne soient plus que de vieux souvenirs !

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