Merci pour votre émission, très intéressante. Quelques petites corrections et remarques :
– La boite : elle est prévue pour contenir le premier supplément (et le suivant si on me demande de l’écrire).
– Le répertoire : ce n’est pas la vie de l’actrice, c’est le rôle qu’elle a préparé toute sa vie, mais effectivement, on peut l’interpréter à ta façon.
– Tous les mots du répertoire sont des capacités, pas seulement ceux qui sont soulignés.
– On ne choisit pas le meilleur des 3 dés : on choisit le dé que l’on veut garder en fonction de son envie de réussir ou de rater la scène.
– Les dés des intermittents (PNJ) : ils utilisent des D6, sauf les vedettes intermittentes (il y a trois niveaux : figurant, second rôle et vedette) qui utilisent des D10 (ou des D6, si vous n’avez pas de D10).
– Dans de nombreux passages tu parles de scènes au lieu de parler de séquences (morceau court d’une scène). Les « Coupez ! On la refait » concernent des séquences.
– Scripts linéaires : c’est voulu : ils ne sont pas linéaires, c’est pire : ils sont dirigistes. L’intérêt, ce n’est pas l’histoire, c’est ce que les joueuses font dans ces scènes. comme tu le dis, le jeu ne tourne pas autour de l’histoire mais de la manière de la raconter.
– A propos de se moquer de l’éditeur, c’est le cas à plusieurs endroits (making of et glossaire)… Sinon, je comprends bien cette critique déjà faite par de nombreux lecteurs mâles.
– D6 et D10 : il ne devait pas y avoir de dés, une commande a été faite au dernier moment, « en bonus » et il y a eu un problème avec les D10.
Sinon, je vous fait jouer sur Paris quand vous voulez (ou presque).
Salut Grégory,
Merci pour ton commentaire qui précise effectivement certaines choses.
Sur ces deux points notamment que je n’avais pas compris de cette manière :
>> Le répertoire : ce n’est pas la vie de l’actrice, c’est le rôle qu’elle a préparé toute sa vie, mais >>effectivement, on peut l’interpréter à ta façon.
>>– Tous les mots du répertoire sont des capacités, pas seulement ceux qui sont soulignés.
Sur celui-ci :
>>D6 et D10 : il ne devait pas y avoir de dés, une commande a été faite au dernier moment, « en bonus >> » et il y a eu un problème avec les D10
Merci pour l’explication :).
Pour le coup c’est vraiment dommage et ça amène à se poser des questions à la con comme les miennes.
En tout cas, je répète que j’ai trouvé des tas d’idées vraiment intéressantes et je suis très curieux de voir comment ça tourne.
Je prends donc ton invitation au sérieux 🙂
Deux choses :
1/ J’entends souvent parler de coopétition, voir de coop de pute (= coup de pute + coop) pour le mélange de coopération et de compétition. Des termes bien pratiques je trouve, vu que c’est un mix fréquent et super intéressant.
2/ Pour ce qui est de rejouer des parties déjà jouées, il y avait un sujet là-dessus sur CasusNo, pas forcément dans l’idée de mieux faire mais simplement de rejouer des super scènes (en les modifiant), de la même façon qu’on aime bien revoir des films qu’on a adoré.
Hello,
Je viens d’envoyer un message sur l’adresse redaction@…
Alors comme je crois savoir que tu ne consultes pas souvent, voici un petit commentaire 😉
A bientôt donc et merci !
Vu. Je te réponds.
Merci pour votre émission, très intéressante. Quelques petites corrections et remarques :
– La boite : elle est prévue pour contenir le premier supplément (et le suivant si on me demande de l’écrire).
– Le répertoire : ce n’est pas la vie de l’actrice, c’est le rôle qu’elle a préparé toute sa vie, mais effectivement, on peut l’interpréter à ta façon.
– Tous les mots du répertoire sont des capacités, pas seulement ceux qui sont soulignés.
– On ne choisit pas le meilleur des 3 dés : on choisit le dé que l’on veut garder en fonction de son envie de réussir ou de rater la scène.
– Les dés des intermittents (PNJ) : ils utilisent des D6, sauf les vedettes intermittentes (il y a trois niveaux : figurant, second rôle et vedette) qui utilisent des D10 (ou des D6, si vous n’avez pas de D10).
– Dans de nombreux passages tu parles de scènes au lieu de parler de séquences (morceau court d’une scène). Les « Coupez ! On la refait » concernent des séquences.
– Scripts linéaires : c’est voulu : ils ne sont pas linéaires, c’est pire : ils sont dirigistes. L’intérêt, ce n’est pas l’histoire, c’est ce que les joueuses font dans ces scènes. comme tu le dis, le jeu ne tourne pas autour de l’histoire mais de la manière de la raconter.
– A propos de se moquer de l’éditeur, c’est le cas à plusieurs endroits (making of et glossaire)… Sinon, je comprends bien cette critique déjà faite par de nombreux lecteurs mâles.
– D6 et D10 : il ne devait pas y avoir de dés, une commande a été faite au dernier moment, « en bonus » et il y a eu un problème avec les D10.
Sinon, je vous fait jouer sur Paris quand vous voulez (ou presque).
Moi je veux !
J’aimerais tester Bimbo, ça a l’air super marrant. Faisons ça quand Pegasus aura accompli son devoir gloranthien. 😉
Salut Grégory,
Merci pour ton commentaire qui précise effectivement certaines choses.
Sur ces deux points notamment que je n’avais pas compris de cette manière :
>> Le répertoire : ce n’est pas la vie de l’actrice, c’est le rôle qu’elle a préparé toute sa vie, mais >>effectivement, on peut l’interpréter à ta façon.
>>– Tous les mots du répertoire sont des capacités, pas seulement ceux qui sont soulignés.
Sur celui-ci :
>>D6 et D10 : il ne devait pas y avoir de dés, une commande a été faite au dernier moment, « en bonus >> » et il y a eu un problème avec les D10
Merci pour l’explication :).
Pour le coup c’est vraiment dommage et ça amène à se poser des questions à la con comme les miennes.
En tout cas, je répète que j’ai trouvé des tas d’idées vraiment intéressantes et je suis très curieux de voir comment ça tourne.
Je prends donc ton invitation au sérieux 🙂
Deux choses :
1/ J’entends souvent parler de coopétition, voir de coop de pute (= coup de pute + coop) pour le mélange de coopération et de compétition. Des termes bien pratiques je trouve, vu que c’est un mix fréquent et super intéressant.
2/ Pour ce qui est de rejouer des parties déjà jouées, il y avait un sujet là-dessus sur CasusNo, pas forcément dans l’idée de mieux faire mais simplement de rejouer des super scènes (en les modifiant), de la même façon qu’on aime bien revoir des films qu’on a adoré.