Les Carnets Ludographiques #9 – Les PNJ (2ème partie)

By | 20 mai 2015

Dans cette seconde partie, on aborde plus particulièrement le développement des PNJ :
● leur conception d’après les intentions narratives évoquées dans la première partie,
● l’interaction PJ-PNJ comme fondement du développement de ces derniers et donc…
● leur caractérisation progressive par approfondissements successifs,
● leur description : l’écueil de l’apparence  »visuelle », l’usage des autres sens et l’importance de la subjectivité,
● résumer les aspects mécaniques au strict nécessaire,
● nouer de véritables relations PJ-PNJ, les induire ou laisser faire les joueurs, et faire évoluer ces relations dans le temps,
● laisser les joueurs créer les PNJ,
● entraîner les joueurs à s’intéresser aux autres personnages et à manifester le leur par le relationnel,
● amener une plus-valu esthétique ou symbolique…

La troisième partie, qui portera plus particulièrement sur l’incarnation et le roleplay, est déjà enregistrée et ne devrait plus tarder.

6 thoughts on “Les Carnets Ludographiques #9 – Les PNJ (2ème partie)

  1. Sylvain

    Bonjour =)

    J’ai récemment découvert les carnets vidéoludiques et je dois vous dire que ce podcast est tout simplement génial, j’ai énormément appris et créé grâce à vous, et je vous en remercie chaleureusement 🙂

    Ceci étant dis j’avais une question, qui pourrait même être un sujet de podcast, et je compte sur vous y répondre. Vous avez déjà mentionné quelques systèmes de jeu n’ayant pas recourt aux dés ou au hasard. Mais comment construire système qui ne repose pas sur le hasard, et qui soit toujours très fun à jouer, et offre également des surprises aux joueurs comme au MJ ? Quels sont les éléments de design fondamentaux dont l’on ne peut se passer ? Etc.
    Bref, développer dans cette direction en donnant toujours plus d’exemples généralissimes :p

    Merci d’avance.

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  2. Sébastien Delfino Post author

    C’est quoi « les Carnets Vidéoludiques » , ça a l’air bien… ? 😛
    Je note la question en tous cas : la réponse serait très longue, complexe et subjective, mais on essaiera de la traiter sur Radio Rôliste (quoique peut-être dans une des nouvelles rub’ plutôt que dans les Carnets, faut voir…).

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  3. Sylvain

    Oups :p petite facétie de la correction automatique.
    J’ai hâte d’entendre cette réponse en tout cas 🙂
    merci beaucoup

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  4. syrhil

    Un podcast d’une qualité phénoménale et qui d’autre une autre dimension aux PNJ. J’ai presque eu l’impression de redécouvrir le jdr.

    En tout cas, je pourrai t’écouter parler jdr pendant des heures tellement il n’y a rien à jeter.

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  5. Sébastien Delfino Post author

    Ça tombe bien, parce qu’on a enregistré des plombes (la troisième partie, qui ajoute 90min au total, sera publiée dans la journée). 😉

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  6. Doc Dandy

    Pour la caractérisation des pnjs j’ai une méthode infaillible: une motivation, un trait de personnalité apparent et un détail physique.
    L motivation précise ce que veut le pnj au fond de lui. Tout ce qui ira à l’encontre de celle ci engendrera une réaction de sa part.
    Le trait de personnalité donne tout de suite le ton pour le RP et sa façon d’agir.
    Le détail physique en dit parfois long sur la pnj mais ça peut rester cosmétique

    Exemple avec un générateur pour un pnj du kit d’inititation Star Wars: le capitaine impérial Herkin qui bosse en sous main pour un Hutt. En trois termes (peur de mourir – solitaire – petite taille) on se retrouve avec un officier droit à l’origine mais qui s’est vu menacer sérieusement par le Hutt. Etant un trouillard au fond de lui il s’est mis à son service et depuis craint sérieusement de se faire buter. Raison pour laquelle il s’isole de plus en plus.
    Ca donne vachement mieux que « l’officier ripoux » proposé à la base et vu comme tel par les pjs.

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