Utopiales 2015 – Vivien Féasson

By | 1 décembre 2015

interviews-UtopialesCette année, le camarade Julien Pouard et moi-même avons conduit une série d’interviews au Pôle Ludique des Utopiales : Julien-dechez-Smith-en-face pour les Voix et moi pour Radio Rôliste y avons discuté avec plein d’auteurs, un éditeur, des animateurs, un programmeur, quelques théoriciens… et beaucoup de bavards passionnés et passionnants.

Les deux premiers entretiens -avec John Grümph et Romaric Briand- ont déjà été mises en ligne sur le site des Voix d’Altarides et malgré un peu de retard par chez nous, nous vous livrons maintenant l’enregistrement de Vivien Féasson, qui nous a parlé de son rapport au jeu et à l’enfance, de la « suite » qu’il prépare à Perdus sous la Pluie, de son goût pour les conventions…

D’ici quelques jours suivront les interviews de l’éditeur julien Delorme (dans ces pages), Guylène Mignot (chez les Voix) et ainsi de suite dans les semaines à venir, jusqu’à ce que nous ayons, en deux endroits, tout publié.

Et d’ici peu, un nouveau Carnet Ludographique !

4 thoughts on “Utopiales 2015 – Vivien Féasson

  1. Pingback: Échos des Utopiales 2015 : Viven Féasson & Romaric Briand | The Fellowship of the Dices

  2. Erwik

    Salut
    Juste question pourquoi cet enregistrement ne remonte pas via mon application de podcast, fil rss séparé?

    Reply
    1. kobal

      Car le podcast n’avait pas été taggé correctement 🙂
      Maintenant que c’est fait tu devrais voir apparaître cet épisode dans ton feed RSS.

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  3. Doc Dandy

    Je rejoins totalement l’idée d’une structure associative pour aider les auteurs à éditer leurs jeux. Ca m’intéresserais d’y participer d’ailleurs.

    La raison en est que les maisons d’éditions servent aujourd’hui surtout à « emballer » le jeu pour le rendre intéressant et commercialisable. On voit donc certains jeux sortir avec un manque de réflexions profondes sur le game-design parce que l’essentiel du temps est consacré aux illustrations, maquettage, relecture et surtout promo.

    Du côté des « indépendants » comme les ateliers imaginaires on reste malgré tout dans une sorte de club où on se relit entre amis. Les retours risquent d’être moins critiques.
    Et playtester en live sur des conventions ne vaut pas mieux: si c’est l’auteur qui se déplace il aura rarement des critiques profondes sur le fond. Si c’est pour s’entendre dire « c’est cool » ce n’est pas trop la peine.

    Donc, oui et re-oui, une structure extérieure et un peu expérimenté pourrait aider pas mal de monde.

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